Un certain nombre de discussions "saluent" la parution des nouveaux razzies de Bifrost, dans le n°49.
Je ne les reporterai pas (ni les razzies ni les discussions); certains razzies portent sur des oeuvres ou des gens que je ne connais pas du tout, d'autres sur des oeuvres ou des gens desquelles j'ai lu ou entendu du bien de sources dont je respecte l'avis. Quant à ceux qui visent des gens ou des oeuvres que j'apprécie, je préfère les croire dûs à la jalousie du (des?) membre(s) du jury qu'à un motif réel. J'ai trop souvent lu des critiques que je ne pouvais partager, les critiques négatives pour des oeuvres que j'appréciais, pire encore les dythyrambes d'oeuvres que je juge ratées voire insupportables, pour accorder encore la moindre valeur aux choix critiques de Bifrost. Par quel miracle les choix éditoriaux, c.a.d. les articles publiés, qui peuvent être bons, voire excellents, à côté de ces choix critiques dignes d'un corbeau (l'oiseau qui trompe les observateurs)?
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