Trois épisodes à cette soirée:
la remise des prix à certains documentaires, dont je ne saurais juger de la qualité n'en ayant vu que les quelques extraits projetés lotrs de la remise, et d'un prix non motivé(qu'a-t-il fait comme film lié aux thèmes du festival, à part 1492 ?) à Gérard Depardieu;
la projection en "première mondiale" du nouveau Star Trek, préquelle que je qualifierais volontier de parodie de Galaxy Quest avec introduction des personnages de Retour vers le futur, bref, un nanar de grandeur astronomique;
la projection de Coraline, l'adaptation en dessin animé du roman de Neil Gaiman par le réalisateur de Nightmare before Christmas (L'étrange Noël de Mr Jack), Henri . On reconnait des images de ce film, et son ambiance. L'histoire, que je n'avais pas encore lue, rappelle Le Voyage de Chihiro, et, si on creuse, se résume à Il faut apprécier ses parents et pas se croire martyrisé par eux..Mais ce serait bien sûr enlever toute la poésie, toute la beauté et l'inventivité du film, que de ne voir que ses sources, comme si on jugeait un homme sur la seule radio de sa moelle épinière.
Le premier film n'avait été qu'une immense partie de déconnade et de rigolade; le deuxième est un joli conte avec de très belles images. Il n'y a rien à regretter, sinon le fait que photos et enregistrements étaient interdits, que je n'ai que mon disque mou largement vérolé comme support de mémoire de la soirée.
lundi 27 avril 2009
Après la soirée de clôture du Festival Jules Verne
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